Comment j’utilise Lucid pour la création de roadmap produit

Je n’imagine pas un instant pouvoir me passer de Lucid dans mon quotidien de chef de produit. C’est devenu une partie très importante de mon flux de travail tout au long du cycle de développement des produits, qu’il s’agisse de brainstormer, de hiérarchiser les priorités ou de planifier le lancement de nouvelles fonctionnalités.

Maintenant que j’utilise Lucid pour le roadmapping produit, je ne reviendrai plus jamais en arrière. Contrairement à des outils comme Jira ou Azure DevOps, Lucid ne se contente pas d’afficher une roadmap produit, mais permet réellement de la développer. C’est-à-dire que notre solution offre l’espace pour la collaboration non structurée et désordonnée qui doit avoir lieu avant de finaliser le document. Et, une fois que l’équipe est au diapason, Lucid est suffisamment intelligent pour synchroniser la roadmap avec Jira, notre système d’enregistrement, afin que nous puissions travailler dessus immédiatement.

De plus, grâce aux nouvelles fonctionnalités conçues pour les flux de travail agile, il est désormais plus facile que jamais d’établir une roadmap produit dans Lucid. Vous êtes un chef de produit et rencontrez des difficultés à collaborer, à vous aligner avec les parties prenantes et à travailler efficacement ? Cette plateforme est faite pour vous. Je vous explique comment Lucid a transformé notre roadmapping produit, dans l'espoir que cette solution puisse vous aider, vous aussi.

Brainstorming et hiérarchisation des améliorations produit

La première étape de mon processus consiste à décider ce que nous allons construire. Souvent, la direction nous donne un objectif stratégique, comme stimuler l’adoption de certaines intégrations par les utilisateurs, mais c’est à nous de déterminer comment atteindre cet objectif. Par conséquent, j’aime commencer par un brainstorming dans Lucid.

Mon équipe et moi pouvons procéder de différentes manières. Parfois, nous organisons des séances de brainstorming en direct, au cours desquelles je peux utiliser les outils de facilitation de Lucid, comme le minuteur et le pointeur laser, pour maintenir l’implication de l’équipe et la direction de la réunion. D’autres fois, nous commençons par rassembler des idées de manière asynchrone sur un tableau Lucidspark, en laissant des réactions émoji, des commentaires et des post-its pour collaborer. 

Ce qui est intéressant avec Lucid, c’est que nous pouvons centraliser les recherches sur les utilisateurs, les données d’utilisation provenant des analyses, l’inspiration provenant d’autres sources et toutes les autres ressources au sein du tableau. Cela facilite vraiment l’accès aux informations dont nous avons besoin pour prendre des décisions. Nous pouvons intégrer des liens, ajouter des cadres autour de certains contenus et utiliser des balises pour organiser les éléments du tableau. 

Lorsqu’il est temps de sélectionner les idées les plus prometteuses, j’utilise les activités visuelles, qui ne sont ni plus ni moins que des sondages interactifs dans Lucid, pour obtenir l’avis du groupe sur les priorités. J’ai constaté que tout le monde n’est pas à l’aise pour prendre la parole pendant une réunion. Les activités visuelles sont donc un excellent moyen de donner à tout le monde une chance de faire part de son avis. Ensuite, j’utilise les données recueillies lors de l’activité pour identifier les domaines de convergence et ceux où nous devons creuser un peu plus.

Les activités visuelles sont particulièrement utiles au niveau des parties prenantes, car elles permettent de retracer la genèse des décisions. Lorsqu’on me demande pourquoi nous avons donné la priorité à telle ou telle activité, je n’ai qu’à consulter l’activité pour voir comment la décision a été prise.

Visualisation du travail

Pour ne pas rater les lancements de produits, nous avons besoin d’une solution qui nous garantit que nous sommes sur la bonne voie pour respecter les délais. Nous utilisons donc Lucid pour obtenir une vue d’ensemble de notre plan. À l’aide de chronologies, nous fixons notre calendrier de sprints, les étapes clés et tout ce qui pourrait affecter notre progression, comme les congés des membres de l’équipe. Avec toutes ces informations présentées sur une chronologie, nous pouvons identifier de manière proactive les obstacles et ajuster notre plan si nécessaire pour éviter tout dérapage.  

Pour planifier le détail, c’est-à-dire le moment où chaque tâche sera réellement effectuée, je crée une table de données dynamique connectée à Jira. Grâce à l’intégration de Lucid à Jira, je peux créer automatiquement des cartes Jira dans Lucid qui sont synchronisées avec le même projet dans Jira. 

Je peux ensuite manipuler la table de données de différentes manières pour visualiser le travail dans le format le plus utile à la planification. Je trouve que classer chaque epic par sprint et par statut (c’est-à-dire terminé, en cours, à faire) est le plus efficace. En utilisant les règles de mise en forme conditionnelle que j’ai créées dans Lucidchart, j’applique un code couleur par epic à chaque carte pour visualiser une autre dimension et comprendre comment chaque tâche est liée aux autres. 

Ensuite, pour avoir une idée précise de l’effort et de la complexité de chaque tâche, j’utilise la capacité d’estimation d’équipe de Lucid. Il peut être difficile d’obtenir le point de vue de chacun dans ce processus, mais à l’aide des banques de formes d’estimation dans Lucid, que ce soit pour les story points ou les tailles de t-shirt, chaque membre de l’équipe peut déposer confidentiellement une valeur d’estimation sous une carte. Ensuite, nous pouvons consulter les résultats ensemble, discuter des opinions divergentes et appliquer l’estimation convenue à la carte Jira.

Ensuite, j’examine la capacité de l’équipe par rapport à la charge de travail. Dans Lucid, je peux facilement visualiser ces informations à l’aide des formes de rapport. Il me suffit d’ajouter une barre de progression qui extrait les données directement de ma table de données dynamique pour connaître l’état d’avancement du projet. Ensuite, je peux utiliser le suivi de la charge de travail pour voir instantanément si l’équipe est au maximum de ses capacités ou si elle a de la place pour prendre plus de travail. Lorsque je déplace des cartes Jira dans le tableau, les formes de la charge de travail se mettent à jour, ce qui me permet de voir facilement comment tout changement dans le plan affecterait la capacité de l’équipe. 

Cartographie des dépendances

Historiquement, l’une des parties les plus difficiles de la création de roadmaps produit était de comprendre les relations entre chaque tâche : quel travail doit être effectué en premier pour que d’autres tâches puissent démarrer ? 

Il peut être particulièrement difficile de comprendre ces dépendances lorsque l’on travaille avec d’autres équipes. Heureusement, en intégrant Lucid à Jira, je peux visualiser les dépendances qui existent déjà dans Jira sur ma zone de travail Lucid, dans une chronologie. Le plus intéressant, c’est que si je souhaite ajuster les dépendances ou en créer de nouvelles, je peux les ajuster directement dans Lucid, et elles seront automatiquement synchronisées avec Jira. 

Cette synchronisation bidirectionnelle est particulièrement utile lorsque je travaille avec l’équipe pour décomposer les epics en stories. Lorsque nous collaborons, discutons et cartographions les dépendances dans Lucid, j’ai la garantie que toutes ces données seront reflétées avec précision dans Jira. Comme nous évoluons rapidement et adaptons fréquemment nos plans, cette fonctionnalité m’épargne les efforts et le temps nécessaires pour transférer manuellement les données dans les deux sens.

Avantages de l’utilisation de Lucid pour l’élaboration de roadmaps produit

Lucid est la seule solution que j’ai utilisée qui offre à la fois la souplesse nécessaire pour la collaboration et l’idéation, ainsi que la structure et les intégrations intelligentes indispensables à l’élaboration de roadmaps produit claires.

Lucid a transformé mon processus de roadmapping produits :

• en offrant un moyen simple et complet d’estimer les tâches et de hiérarchiser le travail ;

• en automatisant les tâches manuelles chronophages (ce qui me permet de consacrer du temps à des tâches plus importantes) ;

• en facilitant l’information des parties prenantes sur l’avancement ;

• en constituant une documentation précieuse tout au long du cycle de vie produit. 

Le résultat ? Nos équipes sont plus agiles, mieux coordonnées et plus efficaces.